mercredi 3 octobre 2012

Verviers-Arles mets les pieds sous la table


Fier de ses 45 ans d’existence, le Comité de Jumelage Verviers-Arles vous invite à participer à son grand dîner d’automne, le mardi 16 octobre prochain à 18 h. La table sera bonne. Elle est celle de IFAPME, 37 rue de Limbourg à Verviers. Le chef Didier Habay, formateur principal en métiers de l’alimentation vous propose le menu “ boissons comprises ” suivant :



La Mise-en-Bouche


Le Filet de Bar en croûte aux Pignons de pin et Tomates séchées sur Polenta crémeuse


Le Suprême de Pintade aux Figues et à la Leffe brune
Mousse de Pommes de terre, Flan de potimarron et Purée de petits pois


Le Nougat glacé aux Fruits confits


Café




Renseignements et réservation avant le 10 octobre au 087/ 31.45.75 (Yvonne Giet-Lebeau).
Par mail : yetgiet@gmail.com
Compte : BE22 0682 2161 7947

mardi 25 septembre 2012

PETANQ' PARTY : 5ème tirage


Petit soleil est revenu, revenu. Il a été le bienvenu, bienvenu. Tout notre comité se précipita pour l’accueillir et ainsi fêter, comme il se doit, Sainte Pétanque, en participation avec l’Union française.

Pour la première fois, notre organisatrice Myriam Knauer volait de ses propres ailes. En effet, nos amis liégeois qui d’ordinaire se chargeaient de la partie technique du tournoi, étaient absents, retenus par une compétition importante, de boules évidemment. Myriam s’en est tirée comme un chef et avec une extrême précision.

Quarante boulistes convaincus vinrent s’inscrire auprès d’elle avant d’aller admirer l’étalage des prix et cadeaux où les vins étaient nombreux de même que les coupes. La ville de Verviers nous avait de ce côté particulièrement gâtés. Outre notre mayeur Claude Desama, chaque échevin avait fait le don d’un trophée tout comme la députée wallonne Muriel Targnion et le conseiller Michel Reip. Julien Mestrez, député provincial et Robert Botterman, président du CPAS avaient quant à eux, offert un panier de produits gourmands .

Michèle Dupuis s’en vint rendre visite sac au dos. Pas peu fier de son idée, Maxime Degey tient à nous remettre en mains propres la statuette d’un joueur de pétanque spécialement commandée à notre intention. Tous les habitués dont de nombreux supporters se retrouvèrent à leur grand amusement sur les photos des années précédentes. Pour cette 5e édition, nous avions un hôte de choix, en l’occurrence notre échevin, Didier Nyssen, venu très amicalement passer la journée en signalant toutefois que, quand il jouait, c’était pour gagner ! Malheureusement il n’en a pas été ainsi. Sportivement, il a fait contre mauvaise fortune bon coeur en remettant une série de coupes au nom des absents pour cause de vacances aux côtés de Jean-François Istasse, échevin de la culture et des finances. Le secrétaire d‘État Melchior Wathelet et Marc Elsen, député wallon, s’étaient faits représenter qui, par Benoît Pitance, qui, par Bernard Piron, tous deux conseillers communaux.

Didier Nyssen arborait-sobrement et fièrement un t-shirt noir à l’enseigne du collège (photo). Par contre, ses deux comparses sur la photo étaient plus voyants, l’un se demandant si La Fanny, il devait la tirer ou la pointer ? tandis que l’autre affirmait qu’il protégeait la couche d’eau jaune. Nous avons eu également une nouvelle répartition des tâches. C’est ainsi que Gilberte et Guy ont pu cette fois jouer alors que Lisette, Jean ainsi que Systke assumaient la relève au barbecue. Le pasteur Roger Gigandet, président de l’Union française, tint à souligner le fait en leur remettant un des trois trophées de sa composition. À 17 h proclamation des résultats avec la lecture du palmarès et l’inévitable baiser à La Fanny des 0-13 dont l’équipe féminine. Elle reçut pour sa peine un coffret de boules de la part de notre ami et membre Charles Kairis avec mission de s’entraîner quelque peu pour le second samedi d’août 2013, même lieu, même heure.

jeudi 9 août 2012

Trimestriel n°26 - Le mot de la Présidente

Combien de fois, avions-nous rêvé, à cette mise en oeuvre de la commémoration du 45e anniversaire de notre jumelage ? Que de recherches, de demandes, de coups de fil, d’entretiens, voire d’appels au secours adressés aux responsables des services communaux concernés. Fort heureusement, ils ont toujours été prêts à nous aider à concrétiser cet événement en terre verviétoise.

Merci, merci à toutes et à tous !

La date fatidique survenue, les Arlésiens arrivèrent le dimanche 22 avril dans la soirée. Branle-bas de combat salle Devaux où les dames du comité s’activaient pour apprêter le repas : potage crème carottes-tomates, assiette froide, petits pains et corbeille de fruits. Par ailleurs, une autre équipe s’affairait à préparer la salle d’exposition où deux artistes arlésiens ainsi que les élèves de l’Académie des Beaux- Arts de notre bonne ville devaient présenter leurs travaux sur le même sujet : l’eau passant sous nos ponts. Enfin, le téléphone sonna et Robert fila accueillir à la sortie de l’autoroute, nos invités. Il guida aussi leur car jusqu’à la Bibliothèque centrale.

Aidé par des membres de l’Union française, il commençe à décharger oeuvres et produits de bouche destinés au marché provençal de l’autre comité. Après le repas, tous furent heureux de découvrir leur lit. Ou de le regagner pour les habitués. Ces derniers n’eurent pas très loin à aller par contre, le groupe Escolo Mistralenco s’embarqua pour le domaine de Wégimont en bonne compagnie : Anne, Marie-Madeleine et moi-même.




Yvonne Lebeau-Giet,
Présidente

mercredi 20 juin 2012

Festivités du 45ème anniversaire

Tous les détails du séjour des arlésiens dans le cadre du 45ème anniversaire du Comité de Jumelage sont à lire sur la page "45ème".Cliquez ici

mercredi 11 avril 2012

Trimestriel n°25 - Le mot de la Présidente





Encore une page de tournée et voila que 2011 s’en est allé plein de belles choses réalisées par notre jumelage, tout seul ou en collaboration avec nos amis Arlésiens. Alors bonjour 2012 avec, mes chers membres, mes voeux de santé, de joie de vivre, de bon moral. En résumé, une merveilleuse, heureuse année !

Contrairement à l’an passé, nous avons eu enfin jusqu’ici - peu de neige. Bien qu’avant Noël, une ou deux bourrasques de flocons blancs aient recouvert la crèche de quartier installée par mes soins depuis des lustres sur mon parking. Devant la photo que j’en avais prise, certains ont cru voir un cliché 2011.
Ceux-là visiblement ignorent que mon petit coin perché sur les hauts de Stembert me permet en général de contempler des paysages dignes de la Suisse. Je bénéficie alors d’une ambiance propice aux rêves enchantés des nuits d’hiver.

Cependant ai-je vraiment besoin de rêver ? N’ai-je pas le bonheur d’avoir un Comité qui se porte bien et auquel je souhaite de déborder d’idées et d’énergie pour recevoir avec panache nos amis du Comité-frère, l’ensemble de danse Escolo Mistralenco et Jacques Guérin, sans doute deux artistes : Antonio Benito et Yann, compagnon d’Emmaüs, les officiels enfin et peut-être la Reine ou l’une de ses demoiselles d’honneur. Tout cela est à l’étude et rien n’est vraiment facile à mettre au point. Ne serait-ce que parce que les agendas ont du mal à s’accorder.
Alors notez d’ores et déjà la date. Notre quarante-cinquième anniversaire se commémorera à Verviers du 22 au 27 avril 2012.

YVONNE Lebeau

mercredi 8 février 2012

Trimestriel n°24 - Le mot de la Présidente

Tout récemment, une petite équipe d’entre nous avait entrepris au Grand Théâtre de mettre deux mannequins en tenue. Histoire de mieux symboliser notre jumelage. Lorsque Jacqueline-la-noire termina la toilette de l’Arlésienne, je me rappelai in petto le visage d’Annick Rippert qui, en 1987, fut élue Reine d’Arles. Elle étrenna d’ailleurs son nouveau titre en rendant visite à Verviers. C’est alors que le président du comité arlésien M Buhon qui l’accompagnait, proclama Verviers, jumelage du coeur.

Parmi les autres invités que reçut Mme Jaumin, à l’époque, échevine préposée aux jumelages, se trouvaient Jean-Claude Dufau, les musiciens et les danseuses du Ruban de Velours et Mlle Ginou que j’ai revue l’an dernier en Arles. Annick était très jolie et elle avait réellement un port de reine. Son père veillait sur elle comme si elle était la prunelle de ses yeux. Les Rippert étaient d’ailleurs une famille formidable de gentillesse. À la question de savoir quels conseils donner aux futures reines, Annick avait recommandé de « rester soi-même ce qui est une chose merveilleuse. On découvre, on apprend et surtout on représente la nation provençale. On est fier de ses racines. Quant à la tradition, elle se transmet par le coeur ».

Sages propos qui en créant l’amitié entre des peuples de coutumes différentes, leur apprend à mieux se connaître, se respecter,voire s’aimer. N’y-a-t-il pas en la matière de quoi éviter les guerres et les drames comme le monde en vit actuellement ?

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Yvonne Lebeau-Giet

Trimestriel n°23 - Le mot de la Présidente

Après une année 2010 et un début 2011 pour moi un rien catastrophiques, la perspective d’un séjour en Arles m’a mis du baume au coeur. Et ce d’autant plus que le programme proposé m’intéressait prodigieusement. Car notre Comité qui suivait l’affaire de près, allait enfin savoir qui, des sept candidates retenues au titre de Reine, le deviendrait, un choix qui pour le jury se présente toujours comme un vrai dilemme.

C’était là le but de notre voyage dont l’"ordre du jour” était aussi pour moi une découverte. Je ne connaissais le Château des papes que de l’extérieur, je pus admirer ses intérieurs. Un repas dans le vignoble, un autre pris dans un très réputé restaurant de Trinquetaille, les deux promettaient une belle ambiance. J’avais déjà assisté à la Fête des Gardians, à l’élection d’une Reine mais pas d’une telle façon et dans une telle proximité. Le tour de Cassis et la promenade en mer vers les calanques, me ravissaient par son inconnu et m’ inquiétaient tout à la fois, because le mal de mer. Fort heureusement, je n’en ai pas souffert et ai pu me livrer tout à mon aise à la chasse aux photos souvenirs. De quoi prolonger de chaleureux moments passés ensemble, les deux comités réunis comme les doigts d’une seule main.

Fini, on a dû rentrer mais moi, j’ai poursuivi par le rêve. Car, vous ne pouvez savoir combien l’imagination peut travailler dans ce coin de Provence, tellement beau et rempli d’histoire que je souhaite que vous puissiez jouir, quelque jour, de ce bonheur à nul autre pareil.


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Yvonne Lebeau-Giet